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6 mai 2013 1 06 /05 /mai /2013 11:40

 

 

Corps  et limites

 

 

Nous nous sentons souvent à l’étroit dans notre corps. Nous voulons en sortir. Mais c’est impossible, sauf à mourir.  Nous nous y sentons parfois merveilleusement.  Nous nous y aimons.  Il est nous-mêmes. Mais aussitôt, nous voulons en sortir. Nous nous souvenons que, pour Valère Novarina, « l’homme est le seul animal qui veut sortir de son corps ». Nous sommes d’accord avec nous, mais nous ne sommes pas d’accord… La question de notre corps est une question-limite où nous nous révélons, où nous nous cachons, où nous nous inventons…

L’époque, puissamment, ne cesse d’activer la question des limites de notre corps. Note vie est trop courte. Nos possibilités intellectuelles, sexuelles, mécaniques sont trop étroites.. Nous inventons et achetons des objets, des techniques qui permettent de multiplier les possibilités de nos corps. Cependant, nous achetons aussi des outils, des techniques, pour vivre au mieux dans notre corps tel qu’il est. Le sport, la médecine, les arts comme la danse, le théâtre, la performance,  mais aussi la mode, internet, les sites de rencontres et d’échange, la passion pour les voyages, la multiplication des sextoys, voire du « sextape », bien des aspects de notre vie contemporaine se trouvent liés à la question du corps et de ses limites, et la renouvellent, car nous inventons, visiblement, sensiblement, ce que Michel Serres appelle un « nouveau corps ».

Didier Fiévet, qui est pasteur à Toulouse, aumônier des prisons, et qui fut pendant des années chirurgien maxillo-facial introduira au débat que nous voulons mener, par un exposé nourri de ses réflexions et de ses expériences.  

Ce débat pourra se développer ensuite pendant une heure et demie environ. Nous n’espérons pas conclure, mais nous finirons vers vingt-deux heures, pour passer à des conversations autour de quelques verres.

Cette rencontre aura lieu, dans le cadre de note année sur les limites et les frontières, mercredi 15 mai, au vieux Temple de Toulouse rue Pargaminières, à partir de vingt heures.

Chacun est le bienvenu. L’entrée est libre.

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26 mars 2013 2 26 /03 /mars /2013 17:45

 

L’homme est un animal classeur. Il l’est remarquablement en ce que l’on désigne, depuis le dernier siècle, par le mot très ambigu de « culture ». On hiérarchise les œuvres. On discerne des classiques, des chefs d’œuvre, des « nanars », des « petits maîtres », des génies…  On hiérarchise plus ou moins énergiquement, et de manières changeantes. On établit, depuis Aristote au moins, des frontières entre les genres ou entre les arts, et on les brouille parfois. On classe pas siècle, plus ou moins « grands », ou par écoles, plus ou moins déterminantes… Qui est ce « on » cependant ? L’École, les bibliothèques, les librairies, les acteurs du champ culturel, mais aussi les lecteurs, les spectateurs, les auditeurs, les visiteurs de musée ont besoin de catégories pour se guider, travailler, goûter les singularités. En ces domaines, il faut sans doute « Penser classer », mais les catégories sont toujours quelque peu arbitraires, toujours discutables, parfois factices, voire senties comme quasi fascistes.  Elles imposeraient des grilles. Elles nuiraient à l’expression libre des subjectivités. Elles seraient l’expression d’institutions mortifères, qui imposeraient des frontières et des limites pour tout contrôler… Les critiques seraient les valets du pouvoir, qui serait le « on ». 

Nous sommes à un moment de crise de la question des catégories. Google, la tyrannie actuelle des subjectivités, un certain conservatisme, les nécessités sociales, scolaires parfois du classement, un conservatisme ou le goût passionné du neuf se rencontrent de manière confuse et, sans doute, féconde, dans un champ problématique, où chacun se trouve pris et peut-être partagé.

Christian Thorel, qui dirige la Librairie Ombres Blanches,  nous proposera ses analyses quant à la situation contemporaine, particulièrement sur les incidences produites par le numérique dans notre environnement.

Yves Le Pestipon, professeur de Khâgne, rappellera quelques éléments d’histoire, et insistera sur la question de l’enseignement des classiques.  

Ces deux interventions, assez brèves, viseront à nourrir un débat avec la salle. Chacun pourra faire part de ses questions, de ses expériences, des réflexions qu’il mène.  Toute parole est la bienvenue, dès lors qu’il s’agit  de nous instruire ensemble.

La séance commencera à vingt heures, mercredi 10 avril au Vieux Temple de la rue Pargaminières à Toulouse. Le débat finira autour de vingt-deux heures. Chacun pourra alors poursuivre les échanges autour d’un verre  et de quelques nourritures. L’entrée est gratuite.

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17 mars 2013 7 17 /03 /mars /2013 10:59

Décalages temporels et frontières mouvantes au Néolithique et à l'Age du cuivre

 

Dans le Bassin méditerranéen et en Europe la période du Néolithique est marquée par d'importants décalages techno-économiques entre l'Est et l'Ouest. Ce monde ancien (- 10 000 à - 2000) n'était pas si différent de l'actuel, il comportait aussi des foyers d'innovation dynamiques et des marges sous développées ou réfractaires au changement. La grande différence réside dans la vitesse et l'intensité des relations ou des interactions entre les foyers de civilisation et les marges. Elles étaient extrêmement lentes et réduites au Néolithique alors qu'elles sont quasi instantanées et très fortes de nos jours.

 

Jean Vaquer, préhistorien du Laboratoire Traces (CNRS-EHESS-Université de Toulouse le Mirail) nous propose d'examiner ces questions à partir d'exemples de la Préhistoire récente tels que la diffusion de l'agriculture et de l'élevage en Méditerranée, la diffusion de certaines techniques, notamment celle de la métallurgie, à la fin du Néolithique.

 

Il s'agira alors de tenter de comprendre comment les innovations ont pu progresser vers l'Ouest, quels ont été les vecteurs de ces diffusions, comment ont-elles été introduites et adaptées aux nouvelles régions, quelles ont été les changements idéologiques en œuvre pour les faire accepter dans les sociétés primitives et quels ont été les effets de leur développement dans les régions concernées ...

Cette soirée s’inscrit dans le cycle “Limites et frontières”. Entrée libre.

Vendredi 22 mars, au vieux temple de la rue Pargammiières à Toulouse, 20 heures.

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6 mars 2013 3 06 /03 /mars /2013 10:55

Les hommes ne sont pas des femmes. Les femmes ne sont pas des hommes. Voilà ce que la société, depuis des temps immémoriaux, répète à l’envi.  Les vêtements, les métiers, les jeux, les contes, les cérémonies religieuses, l’art de la guerre, tout éduque à la différence des sexes pensée comme absolument naturelle, et sur laquelle, cependant, il semble bon de toujours insister. C’est ainsi que les petits garçons ou les petites filles apprennent à  devenir, méthodiquement, petits garçons ou petites filles, et que sont constamment proposés des modèles d’incarnation masculine, ou féminine, à travers les chansons, les films, les mythes anciens et modernes.  

Depuis une quarantaine d’années, les « gender studies », qui trouvent leur principale origine aux Etats-Unis, réfléchissent sur la question du genre. Elles montrent que le genre est largement une construction sociale. On ne naîtrait pas homme, ou femme, on le deviendrait. Certains en concluent que toute distinction entre les genres est culturelle. Sur ce point, les débats font rage, car ils engagent à la fois l’intime et le social.

Olivier Carrérot, philosophe, nous proposera une approche anthropologique de ces questions, en la fondant largement sur les travaux de Françoise Héritier. Danièle Delbreil, psychologue et militante féministe, proposera une approche plus historique de l’évolution des positions. Ces deux interventions viseront à introduire au débat avec la salle. Chacun pourra faire part de ses positions et de ses expériences quant aux enjeux et aux raisons d’une séparation qui ne laisse personne indifférent. 

Mercredi 13 mars 2013, la réunion commencera à vingt heures au Vieux Temple de la rue Pargaminières à Toulouse. Le débat pourra se développer jusqu’aux environs de vingt-deux heures. Il sera suivi d’un échange autour de quelques boissons et nourritures. L’entrée est  gratuite, ouverte à tous, et la parole de chacun est la bienvenue. 

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4 février 2013 1 04 /02 /février /2013 10:40

En France, comme sur toute la Terre, nous vivons de considérables évolutions économiques et sociales. Des flux de toutes sortes se produisent à des vitesses inédites. Les circulations financières ont atteint une puissance qui paraît presque divine. Les lois du marché s’imposent jusque dans la circulation des corps et de leurs organes. Dans ce contexte,  une des vieilles questions de la politique resurgit avec une acuité neuve. Est-il possible et judicieux d’imposer des limites, et surtout au nom de quoi ? La réponse convoque presque nécessairement la morale. Mais, cela peut paraître vieux, dépassé, inutile et très incertain. Maints discours tendent et ont tendu à récuser toute présence morale dans la décision politique. Ils l’ont fait, et le font avec d’autant plus de force que la morale a souvent été employée par des partisans peu recommandables de l’ordre moral. Mais on peut se demander s’il est possible d’envisager des résistances politiques et plus largement des innovations politiques, sans morale, sans réflexion sur la morale, sans volonté de penser ce que peut être une morale collective utile pour notre temps et, du coup, sans retrouver un humanisme.

Jean-Paul Malrieu, auteur de Dans le poing du marché et de La science gouvernée, nous introduira à la réflexion sur ces enjeux contemporains. Il emploiera et discutera diverses analyses, en particulier celles de Jean-Claude Michéa. Il nous proposera sa méditation active, précisément politique, et documentée, qui amènera sûrement des questions et un débat.

 La réunion commencera à vingt heures au Vieux temple de la rue Pargaminières à Toulouse. Elle se poursuivra jusqu’à vingt-deux heures environ. Ensuite, nous partagerons quelques verres et des nourritures terrestres. L’entrée est libre et gratuite.

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6 décembre 2012 4 06 /12 /décembre /2012 23:10

Trois fois cette année les séances des Mercredis  du vieux Temple se redoubleront par des soirées de conférence, le vendredi.

Le thème des trois soirées du vendredi est le même que celui des soiées du mercredi : "limites et frontières".

Le format est différent cependant. Si lors des soirées du mercredi, la place la plus large est faite au débat, la conférence est l'aspect le plus important des soirées du vendredi.

Il nous a semblé qu'il pouvait être intéressant de jouer sur les deux types de soirées.

 

La soirée "Rempart et Perthus" permettra d'entendre deux conférenciers sur deux aspects du thème qui n'ont à la fois rien à voir et tout à voir.

Guy Ashell de Toulza, qui est professeur d'histoire de l'art et conservateur du musée de Rabastens, évoquera un des sujets dont il est spécialiste : les remparts. Ces murailles et les dispositifs qui les accompagnent font à la fois, pendant des siècles, limite et frontière des villes, à Toulouse, comme un peu partout.

Yves Le Pestipon, qui est un creuseur de questions, évoquera le Perthus, lieu de passage bien connu entre la France et l'Espagne. Il décrira ce haut lieu de la modernité où passent force gens, force biens, et où se passent force passes.

Histoire et géographie se croiseront aux deux exposés. On peut attendre de leur succession des effets d'échos et des transgressions.

Ensuite, la parole sera donnée à la salle, et nous finirons la soirée autour de quelques verres.

L'entrée est gratuite et chacun peut venir avec sa pensée, sa culture, et ses questions.

 

Vieux temple de la rue Pargaminières à Toulouse, vendredi 14 décembre 2012, 20 heures.   

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4 décembre 2012 2 04 /12 /décembre /2012 19:55

L'intime est à la mode. On en parle. On en écrit. On le représente. On le défend. On ne sait pas très bien ce qu'il est. Peut-être n'est-il pas ailleurs que dans le regard, mais le regard fait ici la chose, là justement où se dérobe, en principe, le regard.

Une thèse, récemment consacrée à madame de Sévigné, s'intitulait "l'invention de l'intime". L'intime s'invente donc au fil des âges, parmi toutes sortes de pratiques, dans un chantier toujours renouvelé des limites.

Chaque citoyen a son intime, qui n'est pas sa vie privée, et il le partage, ou ne le partage pas, le protège, ou le révèle, mais il se trouve parfois contraint à le laisser paraître, par exemple à l'hôpital, devant le médecin, ou dans des situations de justice. Trouble, fascination, violences se trouvent liées à ces expériences de transgression des limites qui constituent  l'intime, et que l'intime constitue. On entend parler, ces jours-ci, d'images érotiques que des jeunes gens ont pu mettre en ligne, et qui y demeurent, puis qui circulent, provoquant, quand ces révélations sont révélées, des douleurs, parfois des suicides. L'intime mis en ligne semble devoir devenir une signature des individus contemporains. On en mesure mal les conséquences. On est fasciné, parfois pris, parfois résistant.

Il y a visiblement, au secret, au public, dans le juridique, comme dans le médical, dans la littérature, comme sur les écrans, trouble quant à l'intime, qui paraît lié à des déplacements de limites, ou à leur abolition.

Quel droit à l'intime dans une société d'images ? Quelles protections ? Quel renouvellement de l'idée de l'intime produit le jeu des nouvelles transgressions ? Comment penser tout cela ? Comment l'affronter alors que nous sommes désormais bien loin de madame de Sévigné, qui inventait, peut-être, en ses lettres, une manière neuve de dire l'intime, ou plutôt un art de sentir qu'il est subtilement parole, donc expérience des limites ?

Ce sont là idées jetées depuis le titre de la soirée, pas un programme. Il semble que "l'intime et les limites" appelle à l'infini.

Nous avons demandé à Laure Ortiz, universitaire, agrégée de droit public; et à Françoise Gouzvinski, universitaire, psychologue, d'intervenir. La soirée commencera par leurs exposés, leurs analyses, leurs présentations de cas. Ensuite, nous débattrons avec elles, en échangeant des témoignages et des points de vue. Nous espérons ensemble nous nourrir de la force des questions.

La soirée pourra s'achever autour d'un verre, aux environs de vingt-deux heures.

Elle commencera à vingt heures. Elle se tiendra, comme pour chacun des "Mercredis du Vieux Temple", au vieux Temple de la rue Pargaminières à Toulouse. L'entrée est gratuite. Chacun est invité à venir écouter et échanger.

 

 

 

 

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1 novembre 2012 4 01 /11 /novembre /2012 15:44

Quand nous avons réfléchi au programme "Limites et frontières" pour les rencontres 2012-2013, nous avons vite pensé à l'éducation.

Eduquer, étymologiquement, c'est conduire "hors de". L'éducateur amène celui qu'il éduque à sortir de certaines des limites qui le retiennent. Il lui fait passer des frontières. D'une certaine manière, il le dépayse. Parce qu'il invite à la transgression, il n'est pas exactement rassurant. Il propose de l'inconnu, parfois exaltant, souvent enrichissant. On pourrait en conclure que telle est sa fonction seulement.

Dans la quinzaine d'années qui ont suivi mai 68, on a volontiers cru que l'éducateur devait essentiellement aider à laisser sortir ce qui se trouvait sous pression dans la nature humaine. L'éducateur devait d'abord favoriser l'expression sans aucune limite. On a rêvé d'autododiscipline, de disparition de l'autorité et des interdits.

Face aux catastrophes qu'ont produit ces naïvetés, certains, ont rêvé d'un retour à l'ordre. On s'est mis à célébrer le temps heureux de la discipline. On a acclamé la fin des illusions soixante-huitardes. Il fallait dompter les "sauvageons". L'éducateur devait redevenir instructeur en bornes nécessaires.

 La réalité est complexe. Il s'agit peut-être, sans illusion, mais sans conversatisme, d'éduquer aux limites. Lesquelles ? Comment ? Dans quelles limites même ?

Nous voudrions en débattre largement, précisément.

Pour ce faire, nous avons proposé à Lin Grimaud et à Jenny Antoine d'introduire la séance, en faisant part de leurs expériences, de leurs compétences, de leurs propositions.

Lin Grimaud, psychologue clinicien superviseur en travail social, est auteur du livre Education thérapeutique, pratiques instiutionnelles publié chez Erès en 1998.  

Jenny Antoine est responsable de formation à l'ARSEAA. Elle est auteur du livre Travail social, lien social et Internet, publié chez Erès en 2009.

Après leurs rapides exposés, la parole sera à la salle pour des questions, des commentaires, un large partage, qui s'achèvera vers vingt-deux heures.

Ensuite, nous pourrons poursuivre, de manière plus informelle, les échanges autour de quelques boissons et nourritures.

Mercredi 14 novembre 2012, Salle du Vieux Temple de la rue Pargaminières à Toulouse, 20 heures.

L'entrée est gratuite et ouverte à tout le monde. 

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8 octobre 2012 1 08 /10 /octobre /2012 11:35

Le début du troisième millénaire est un temps de migrations. On le voit tous les jours. Cela crée des situations terribles  et fécondes. Chacun s'interroge sur soi, sur les autres, sur la communauté, sur le devenir humain, sur les raisons et les modalités des frontières. Nous en débattrons entre nous à partir des expériences dont témoigneront les intervenants.

 

Avec Jean-Pierre Grenier, responsable Cimade

Jean-Claude Guiraud, militant de la cause des Roms,

Stéphane Kojayan, président de l'Amicale des arméniens de Toulouse

 

 

La soirée débutera  à 20 heures. Elle s'achèvera à vingt-deux heures .

Les intervenants présenteront leurs analyses, leurs points de vue, leurs témoignages pendant une quarantaine de minutes au maximum. Ensuite, la parole sera donnée à tous pour des questions, un débat, d'autres témoignages.

 

Après vingt-deux heures, les conversations pourront se poursuivre, autour d'un verre.

 

 

Chacun peut apporter ses nourriture spirituelles ou non. Toutes les paroles et toutes les réflexions sont les bienvenues. Il s'agit de penser agréablement ensemble.   

 

 

Deux livres, parmi tant d'autres, peuvent actuellement aider à la réflexion :

 

Eloge des frontières, par Régis Debray, chez Gallimard 

Xenophobie Business, par Claire Rodier, aux éditions de La Découverte 

 

 

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8 octobre 2012 1 08 /10 /octobre /2012 11:09

 

 

 

Voilà le programme des Mercredis du VIeux Temple qui se tiendront, sauf les conférences du vendredi, à partir de vingt heures, au Vieux Temple de la rue Pargaminières à Toulouse.

 

L'entrée est gratuite. L'équipe se trouve sur les lieux dès dix-neuf heurs quinze environ. La rencontre, après près vingt-deux heures, se prolonge par un échange autour d'un verre, et de quelques nourritures.   

 

L'essentiel échappe au programme.

 

 

 

Mercredi 10 octobre 2012 : Migrations, frontières et identités aujourd'hui, 

 

Mercredi 14 novembre 2012 : Eduquer aux limites

 

Mercredi 12 novembre 2012 :  Intime et limites

 

Mercredi 13 février 2013 : Morale et limites

 

Mercredi 13 mars 2013  : Sexe, genres et limites

 

Mercredi 10 avril 2013 : Arbitraire et nécessité des catégories culturelles

 

Mercredi 15 mai 2013 : Corps et limites

 

 

Séances supplémentaires des vendredis

 

Vendredi 14 décembre 2012 : Perthus et rempart, deux modalités de frontière, avec Guy Ashell de Toulza et Yves Le Pestipon

 

Vendredi 22 mars  : frontière mouvante et frontière stable au Néolithique

 

Vendredi 31 mars (date à confirmer) : Limites des choses avec Tristan Garcia

 

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